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Accident du train de rapatriés à Isenbüttel le 22 janvier 1941[1] Par Raymond Pappens, n° 20149 B/1A Le 20 janvier 1941, plusieurs trains quittèrent Stablack à destination d'Anvers afin de rapatrier les prisonniers de guerre belges du Stalag 1A que les Allemands avaient catalogués comme Flamands. Il y avait eu des convois semblables les jours précédents et il y en eut encore les jours suivants. Ces trains n'avaient pas d'horaire régulier et devaient donc s'engager sur les différentes sections du trajet quand celles-ci étaient libres, c'est-à-dire avant ou après les trains à horaire fixe et sans gêner ceux-ci dans leur marche normale ; c'est pourquoi de nombreux arrêts et attentes leur étaient imposés. Un de ces trains quitta Stablack vers midi ; il transportait mille hommes répartis dans une vingtaine de wagons de voyageurs français, tous pareils et prévus pour cinquante personnes chacun. Le 22, vers sept heures du matin, il avait déjà largement dépassé Berlin et se trouvait à l'arrêt dans la gare d'Isenbüttel, à environ 55 km avant d'atteindre Hanovre, sur la grande voie axiale reliant Berlin à la Rhénanie. Il faisait encore nuit, il neigeait par intermittence et il y avait du brouillard. Au moment même où le train allait repartir, quand le machiniste desserra les freins, un train de marchandises le tamponna par l'arrière. Le choc fut extrêmement violent, car pareil convoi représente plusieurs centaines de tonnes en mouvement, lancées à la vitesse de croisière de ce train qui n'avait pas l'obligation de s'arrêter à cet endroit. L'accident était dû au fait que le machiniste de la locomotive tamponneuse avait brûlé un signal « fermé », ayant été aveuglé par la tempête de neige. Deux signaleurs furent arrêtés sur les lieux de l'accident, immédiatement après celui-ci, mais ils furent probablement relâchés après l'enquête. Le train tamponneur et sa locomotive ne s'arrêtèrent pas avant d'avoir démoli complètement les quatre derniers wagons du train à l'arrêt. Le dernier wagon, ou ce qu'il en restait, se trouvait, après l'accident, au-dessus de la locomotive tamponneuse où le machiniste trouva la mort. Ce furent les prisonniers eux-mêmes qui commencèrent à dégager leurs camarades des décombres. Il y avait trois médecins belges à bord du train mais ils n'avaient aucun matériel médical ; ils eurent donc peu de rendement. Puis, moins de dix minutes après l'accident, les premiers secours allemands commencèrent à arriver sur place. Les services de la Croix-Rouge allemande, de la Wehrmacht aussi, se mirent au travail, d'abord avec l'aide de prisonniers belges, ensuite avec des renforts de pompiers et de la jeunesse hitlérienne. Les prisonniers belges furent alors éloignés, les Allemands s'estimant assez nombreux ; ils prétendirent aussi que les prisonniers étaient trop émotionnés pour être d'un bon rendement. Tous les occupants du train, même ceux qui se trouvaient dans les wagons de tête, avaient été fortement secoués et projetés contre les cloisons ou les uns contre les autres. Il y eut ainsi de très nombreux blessés légers en plus de ceux qui avaient subi l'impact direct de la collision dans les wagons de queue. Les témoins de cet accident font tous état de scènes horribles, souvent pénibles. Il y avait des morts et des mourants, des blessés, très graves, mais curieusement aussi quelques indemnes dans ces débris tordus et enchevêtrés d'où personne ne semblait devoir sortir vivant. Les morts furent rassemblés en un premier temps dans un hangar à marchandises de la gare, tandis que les blessés étaient évacués vers un bâtiment tout proche, et de là vers l'hôpital de Brunswick, à environ vingt km de là. Puis, sans transition, dès que l'évacuation des morts et des blessés fut achevée, les Allemands se mirent à dégager les voies afin de rétablir la circulation des trains. Une rame de wagons de remplacement fut amenée sur place ; elle était quasi entièrement composée de wagons allemands de première classe. Les quelque 800 rescapés et blessés légers y furent transbordés. Vers 14 heures ce convoi partit en direction d'Anvers. Les rescapés avaient donc passé environ sept heures sur les lieux de l'accident. Arrivé à Hanovre, le train y fit un arrêt plus long que prévu afin de permettre de soigner les nombreux blessés légers dans le convoi. Deux heures plus tard, il reprenait sa progression. Durant l'arrêt, les Allemands avaient notablement renforcé les mesures de surveillance et annoncé que tout contact avec la population était strictement défendu. Au soir du 24 janvier, vers 23 h, le train entra en gare d'Anvers. Après les formalités de libération, certains disaient « de démobilisation », il n'était plus possible de poursuivre le voyage. Les rescapés de l'accident rejoignirent leur domicile dans la matinée du 25, avec les premiers trains de la journée. La Aller Zeitung, publiée à Vorsfeld près d'lsenbüttel, dans son édition du 23 janvier 1941, signala l'accident dans un encadré en caractères gras. La censure de l'époque n'a probablement pas permis qu'elle en dise davantage : il y est question de gros dégâts, d'environ 50 tués et de nombreux blessés, sans mention de nationalité. Il y est pourtant signalé que l'accident eut lieu à 8 h 26 (!) à Isenbüttel et que les blessés avaient été hospitalisés à Brunswick. Finalement, l'article indique que l'enquête devra déterminer les responsabilités. Selon Le Soir du 31 janvier, 86 victimes de l'accident furent inhumées le 28 « dans le Nord-Ouest de l'Allemagne », lors d'une cérémonie conduite par des aumôniers catholiques, un Belge et un Allemand, et la Wehrmacht y rendit les honneurs traditionnels. Het Nieuws van den Dag publia un article similaire à celui du Soir le 31, mais dans son édition du 10 février parut un reportage sur trois colonnes à la Une selon lequel le nombre des victimes inhumées le 28 était de 94. Toujours selon le même journal, les cercueils avaient été enterrés dans une longue tranchée, la cérémonie religieuse fut concélébrée par Dom Van Assche, venu spécialement de Belgique, et par un aumônier catholique allemand de la Wehrmacht. Une compagnie d'infanterie allemande rendait les honneurs tandis qu'une musique militaire allemande jouait des marches funèbres ; elle termina en jouant « Le bon camarade ». Les cercueils étaient recouverts du drapeau belge et d'une couronne de plantes vertes aux couleurs allemandes, offertes par la Wehrmacht. Le même article signale que les assistants des prêtres officiants étaient des prisonniers de guerre français. Parmi les présents à cette cérémonie, il y avait un général allemand grand mutilé de guerre, représentant le commandant de la région militaire (Wehrkreis), aussi quelques autorités civiles, mais aussi des Belges, des représentants de l'association des anciens combattants flamands (VOS). Il n'est fait aucune mention des familles des victimes, aucune n'avait reçu l'autorisation nécessaire pour assister à ces obsèques. Le même journal signala, dans son édition du 24 février, que le 22 à 11 h une messe de Requiem fut célébrée en la cathédrale d'Anvers pour le repos de l'âme des victimes. Des autorités civiles et religieuses rehaussèrent cette cérémonie de leur présence. La Bundesbahn, héritière de la Reichsbahn, n'a plus de dossier concernant cet accident, car les dossiers de ce genre sont détruits après 10 ans. Mais les autorités judiciaires conservent généralement leur dossier; celui de l'accident fut établi par le procureur de Hildesheim ; il ne concerne que les responsabilités et ne semble pas devoir être d'un grand intérêt pour ce rappel historique. Joseph-Louis Champagne Les blessés hospitalisés furent bien traités et soignés. Les médecins du Reservelazarett n°1 de Brunswick (nom donné pendant la guerre à l'hôpital de cette ville) étaient professionnellement compétents. Les renseignements recueillis au sujet des soins prodigués aux blessés furent soumis à l'examen de spécialistes belges, ils n'ont donné lieu à aucune remarque. Les blessés hospitalisés ont pu correspondre avec leur famille et recevoir des colis. La Croix-Rouge tint les familles informées. Au fur et à mesure de leur rétablissement, les blessés furent rapatriés par Anvers. Tous les retours n'ont pas été signalés par la presse de l'époque, certainement pas quand il s'agissait d'isolés. C'est ainsi que l'on peut relever 5 retours le 9 février, 29 le 17, encore 24 le 14 mars et 16 le 15. Cela ne donne qu'un total de 87 et encore, si ces 87 sont signalés comme originaires du Stalag 1A, il n'est pas certain qu'il s'agit de blessés de l'accident d'Isenbüttel, sauf pour les 29 et 17 février pour lesquels la chose était spécifiée. D'après les actes de décès, 71 prisonniers sont morts à Isenbüttel le 22 février. Il s'agit sans aucun doute de ceux qui furent tués sur le coup. Tous les autres sont décédés à Brunswick. Le dernier blessé qui mourut à Brunswick était le soldat Joseph Champagne, du 2ème Corps Médical. Il était né le 29 novembre 1903 et il souffrait notamment de fractures du bassin. Durant son hospitalisation sont état empira encore par suite de complications diverses que sa robuste constitution ne lui permit pourtant pas de surmonter. Il mourut le 8 avril à midi et 35 minutes. Vous trouverez ici la photo de sa tombe à Brunswick d'où sa dépouille fut rapatriée en 1948. A l'arrière plan, sur la même photo, vous pouvez voir les tombes de Emile Werbrouck, Joseph Lambrechts et Josephus Van Eynde. Le nombre de blessés hospitalisés est difficile à établir. Les témoignages varient de 114 à 140. Comme une partie des blessés sont décédés à Brunswick cette différence concerne sans doute les décédés dans cette ville. Il semble donc qu'il y ait eu environ 210 victimes dont 97 sont décédés. Ceci correspond approximativement aux voyageurs des quatre derniers wagons, plus quelques autres. Les dépouilles mortelles d'un grand nombre de victimes, si pas de toutes les victimes, furent rapatriées entre 1947 et 1949. Ces rapatriements se firent aux frais de l'Etat belge. A Brunswick, il ne doit plus subsister de tombes des victimes de cet accident. L'administration communale de cette ville élude les questions à leur sujet. Pourtant en Belgique aussi, les tombes des cimetières civils sont reprises par les communes après dix ou vingt ans. Par ailleurs, il semble que les débris humains non identifiables après l'accident ont été inhumés dans une tombe dans le même cimetière. Ces débris anonymes furent exhumés et sont actuellement à Bourg-Léopold où ils sont connus sous l'appellation du « Prisonnier de Guerre Inconnu ». Ce drame provoqua des deuils et des souffrances qui, aujourd'hui encore, marquent bien des familles, aussi en pays wallon. Car ce convoi comprenait, en fait, de nombreux Wallons. Rien que parmi les morts, il y en a dix qui étaient domiciliés en Wallonie, et encore davantage dans la région bruxelloise. Vous trouverez la liste des morts de cet accident ci-après. En ce quarante-cinquième anniversaire de ce drame, ayons une pensée toute particulière pour ces hommes qui furent nos camarades de combat et partagèrent notre sort tout au long de « L'An Quarante ». Nous ne les avons pas oubliés ; leurs noms figurent sur le monument du Stalag 1A à Chaudfontaine. Chaque année en septembre, nous ne manquons pas de leur rendre hommage et nous continuerons à le faire avec ferveur, fidèles à leur souvenir. Prisonniers de guerre décédés des suites de l'accident du 22.1.41 (1) (2)
(3) (4) (5) (6) 1. BEENS Richard 13207
B/1A 9961 Boekhoute (b) 2. BELEMANS Pierre 4574 B/1A 4000 Liège (a) 3. BERWAERTS Julien 11187 B/1A 3404 Attenhoven (a) 4. BESSON Lucien 1337 B/1A 2000 Antwerpen (a) 5. BLANCKE Lucien 12584 B/1A 7700 Mouscron (a) 6. BOUCKAERT César 11604 B/1A 8000 Brugge (b) 7. CHAMPAGNE Joseph 11258 B/1A 3420 Kerkom (i) 8. CLOET Pieter 13190 B/lA 8400 Oostende (a) 9. CLONEN Franciscus
10839 B/1A 3968 Kwaadmechelen (c) 10.
CLOSET Achille 14982
B/1A 2710 Hoboken (c) 11. CORIJN Achille
12574 B/1A 9810 Drongen (a) 12. COUWENBERGH Evariste
18860 B/1A 4001 Bressoux (a) 13.
CRAYEBECKX Joseph 14978 B/1A 4370 Waremme (b) 14. DE BREUCKER François 12972 B/1A 1000 Bruxelles (a) 15. DE CAUWER Henri 22531 B/1A 1200 Woluwé-St-Lambert
(a) 16.
DE CLERCQ Remi 11560
B/1A 9990 Maldegem
(a) 17. DE COCK Jules 12585
B/1A 8570 Anzegem
(a) 18. DE CONINCK Pierre 20241 B/1A 4400 Herstal (a) 19. DE GROOT Frans
14675 B/1A 2638 Reet (b) 20. DE HERDT Jan 5287 B/1A 2550 Kontich (b) 21. DELWICHE Henri 12580 B/1A 1050 Ixelles (a) 22. DEMIDDELE Georges 13315 B/1A 8720 Kuurne (a) 23. DE NEVE Albert 12558 B/1A 9933 Ursel (a) 24. DE NEVE Gérardin
12212 B/1A ? (a) 25. DE NOOSE Edgard
15944 B/1A 9050 Evergem (a) 26. DE RAET Joseph 16410 B/1A 3100 Heyst-op-den-Berg
(a) 27. DE SOPPER Henri 12751 B/1A 8220 Jabbeke (a) 28. DE ROO Valeer
14053 B/1A 9830 St-Martens-Latem (a) 29. D'HONDT Gustaaf
12572 B/1A 8220 Jabbeke (a) 30. DICK Léopold
14040 B/1A 1820 Strombeek (b) 31. DOTHEE Jules 16311 B/1A 5780 Moustier (a) 32. DOUMONT Georges 10940 B/1A 6180 Courcelles (e) 33. DUBOIS Joseph 6996 B/1A 2801 Heffen (a) 34. EVERAERT Joannes
12566 B/1A 8223 Stalhille
(a) 35. FAUT Remi 12676 B/1A ? (b) 36. FOULON Fernand 19450 B/1A 6800 Bertrix (a) 37. FRERE Jean 16010 B/1A 3640 Eisden (a) 38. GEORGE Urbain
12586 B/1A 8200
St-Andries
(a) 39. GERARD Fernand
20304 B/1A 6490 Seloignes (a) 40. GlOS
Joseph 5293 B/1A 2280 Grobbendonk (b) 41. HANNOT René 19546 B/1A 1050 Ixelles (d) 42. HECHTERMANS Jean 10688 B/1A 3760 Lanaken (a) 43. HENDRICKX Josephus 12341 B/1A 3000 Leuven
(a) 44. HENNEMAN Maurice 12570 B/1A 8220 Jabbeke (a) 45. HERBOTS Gérard
12206 B/1A 3404 Attenhoven (a) 46. HEIJRMAN Kamiel
12311 B/1A 2750 Beveren-Waes (a) 47. HOEX Alphonse 14631 B/1A 2200 Borgerhout (a) 48. JANSSENS Pieter 5362 B/1A 2470 Retie
(b) 49. KINDERMANS Pierre 11914 B/1A 1180 Uccle
(a) 50. LAENEN Emiel
13125 B/1A 3160 Hulshout (a) 51. LAMBRECHTS Joseph 5285 B/1A 2530 Boechout (f) 52. LOOTENS Hilarius
20321 B/1A 2800 Mechelen (b) 53. ADOC Baudewijn
12568 B/1A 8223 Stalhille (a) 54. ARTENS Roger 13206 B/1A 9990 Maldegem (a) 55. MARTING Léon
11954 B/1A 3760 Lanaken (a) 56. MEIJNAERTS Georges 16748 B/1A 1000 Bruxelles (a) 57. MICHAUX René 9174 B/1A 1050 lxelles (b) 58. MOREAU Jules 7843 B/1A 1030 Schaerbeek
(a) 59. OEIJEN Julius 5317 B/1A 2200 Borgerhout (a) 60. PETIT Louis 22313 B/1A 6800 Bertrix (a) 61. PHILIPART Albert 8422 B/1A 4000 Liège (d) 62. PHILIPSEN Constant 13341 B/1A 2200 Borgerhout (a) 63. POLLET Maurice 8778 B/1A 8163 Bovekerke (a) 64. PORTENART Carlos 17654 B/1A 1000 Bruxelles (a) 65. SCHOETERS Paul 19927 B/1A 2500 Lier (a) 66. SELS Antoine 14909 B/1A 2100 Deurne (a) 67. SELS Hubertus 12963 B/1A 2440 Geel (a) 68. STAPELS Pieter 12961 B/1A 1080 Molenbeek-St-Jean (a) 69. STEIN Julien
6023 B/1A 2060 Merksem (a) 70. STUBBE Julien
13181 B/1A 8401 Bredene (b) 71. STIJNEN Franciscus
12490 B/1A 2060 Merksem (a) 72. STIJNEN Jozef
12344 B/1A 3999 Eindhout (a) 73. TANGHE Maurice 13193 B/1A 9933 Ursel (a) 74. ULIN Louis 12289 B/1A 9402 Meerbeke (a) 75. VAN ACKER Frans
12373 B/1A 9140 Zele (d) 76. VAN DEN BUSSCHE Jérome 13306 B/1A 8222 Zerkegem (a) 77. VAN DER PLAETSEN Roger 11618 B/1A 1050 Ixelles (b) 78. VAN DER SCHUEREN Ferdinand 129
B/1A 1800 Vilvoorde
(a) 79. VANDRIESSCHE Gérard
11311 B/1A 9750 Zingem (a) 80. VAN DIJCK Jules 11304 B/1A 3541 Kortenaken (a) 81. VAN EYNDE Josephus 14619 B/1A 3180 Westerlo (g) 82. VAN GINNEKEN Albert 3896 B/1A 3381 Kapellen (d) 83. VAN HANDENHOVEN Eugène 15126 B/1A 2000 Antwerpen (a) 84. VAN HOEYDONCK Ludovicus 3135 B/1A 2150 Oosmalle (a) 85. VAN LANDUYT Joseph 8751 B/1A 2950 Hofstade (a) 86. VAN LINDEN Petrus
13376 B/1A 2090 Stabroek (a) 87. VAN WOENSEL Frans
7552 B/1A 3150 Booischot (a) 88.
VERLEZ Alphonse 12342 B/1A 1686
Gooik (a) 89.
VERHAERT Pieter 10846 B/1A 2650
Boom (c) 90.
VERNIEST Georges 12557 B/1A 9933
Ursel (a) 91.
VERSLEGERS Hubertus 20096
B/1A 2050 Antwerpen
5 (a) 92. VERSTRAETE Amatus
13307 B/1A 8221 Snellegem (a) 93. VETS Jules 12129 B/1A 3100 Heist-op-den-Berg (a) 94. VREBOS Leopold 11647 B/1A 1980 Tervuren (a) 95. WARNANTS Marie 17496 B/1A 3720 Kortessem (b) 96. WERBROUCK Emile 12599 B/1A 8400 Oostende (h) 97. WOLFS Frans 18066 B/1A 2840 Haacht (a) Renvois : (1) N° d'ordre de classement alphabétique. (2) Nom et premier prénom. (3) N° d'immatriculation de PG. (4) Code postal et (5) Localité du domicile. A défaut, le lieu de naissance. (6) (a) décédé à Isenbüttel le 22.1.41(total 71) (b) décédé à Brunswick le 22.1.41(total 14) (c) idem le 23.1.41(total 3) (d) idem le 24.1.41 (total 4) (c) idem le 25.1.41 (total 1) (e) idem le 25.1.41(total 1) (f) idem le 26.1.41(total 1) (g) idem le 30.1.41 (total 1) (h) idem le 1.2.41(total 1) (i) idem le 8.4.41 à 1235 Hrs (total 1, le dernier).
Total général: 97. Sources
: La liste des morts du Stalag 1A Aller Zeitung de Vorsfeld Le Soir Het Nieuws van den Dag Les administrations communales de Isenbüttel et Brunswick. La Bundesbahn. Les témoignages de: Cleenen
Henri, de 2633 Melen-Micheroux Halleux Henri, de 3791 Remersdael-Fouron Pans, de 1475
Baisy-Thy Roosbeek, de 5958 Lincent La famille
Champagne, de 4370 Waremme. Regardez ce site concernant le Stalag 1A [1] Tiré de la revue : Ceux du 1A « Amicale Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre Belges du Stalag 1A (Prusse-Orientale) » du mois de janvier 1986. |