Hôpital de Vinckem : Salle d’opération sous tente avec la reine Elisabeth et le docteur Depage.
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Hôpital de Vinckem : Tout le matériel opératoire. Soins d’hygiène : panne – bassin – essuie, etc. Pansements, trousse …
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Vitrine pansements ; Les pansements étaient réalisés avec des draps blancs coupés en bandes par les blessés qui pouvaient travailler manuellement. L’éclairage était assuré par des lanternes à pétrole. D’autres étaient bricolées par les soldats. Les attelles de Thomas pour y bloquer les membres blessés : jambes, bras, sans déplacement du membre blessé enroulé avec des bandes.
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Vitrine avec photos : Départ sous tentes pour réaliser les soins après la construction de bâtiments en bois.
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Beaucoup d’amputations étaient nécessaires
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Moment de détente pour un soldat allemand
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Appareil de transfusion instantanée pour donner et recevoir
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Un patrouilleur belge en action
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Un patrouilleur belge en action (de face)
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Après des bombardements
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Masques anti-gaz
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Affiche de la Croix-Rouge USA avec un aviateur et un soldat
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Hommage au « Papa Merx »
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Un prêtre en soutane : le « père de Groote » (le seul à pouvoir se déplacer sur un cheval)
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Grande vitrine avec matériel Croix Rouge anglaise et allemande Foulard avec dessins expliquant comment faire les pansements, des brochures d’instruction. Divers insignes de la CR et livres explicatifs. Registre d’inscription des blessés avec situation médicale.
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Comment se servir du triangle
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Comment se servir du triangle
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Le Dr Antoine Depage et la reine Elisabeth devant un soldat congolais (34 soldats congolais de la Force Publique sont venus combattre dans les tranchées). L’infirmière se servait du TABORET pour endormir les patients opérés mais l’odeur du chloroforme l’endormait également en travaillant
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Matériel en salle d’opération à l’hôpital de l’Océan
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Matériel en salle d’opération à l’hôpital de l’Océan
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Quelques instruments médicaux
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Quelques instruments médicaux
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Une chaise percée à roulettes, un brancard brouette, 4 modèles de béquilles
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Fin de la Grande Guerre, signature de l’armistice
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1940-1945 : File des prisonniers de guerre qui se rendent à la pharmacie. Le pharmacien militaire belge prisonnier également. Le coffre des brancardiers avec du matériel médical prévu pour 100 personnes. NB. L’était souvent de la débrouillardise pour soigner, les médicaments n’étaient pas toujours adaptés aux problèmes médicaux liés à la santé des P.G.
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Bureau du médecin : Un commandant médecin belge avec un capitaine médecin français.
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Un P.G. va aux soins. L’infirmier n’est pas nécessairement qualifié pour donner les soins. « P.G. formé ». C’est la débrouillardise avec ce qu’on reçoit dans le coffre du médecin. Les produits sont plutôt destinés à l’hygiène corporelle plutôt qu’à des véritables médicaments pour soigner. Savons, désinfectants, produits contre les poux, « peignes » …
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Les costumes des militaires belges au Congo. Une brigade belge de la Force Publique affectée au service de santé a servi en Birmanie avec le Medical Corps of Burna.
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Les costumes des militaires belges au Congo. Une brigade belge de la Force Publique affectée au service de santé a servi en Birmanie avec le Medical Corps of Burna.
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Les costumes des militaires belges au Congo. Une brigade belge de la Force Publique affectée au service de santé a servi en Birmanie avec le Medical Corps of Burna.
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Coffre de soins et interventions médicales de la Vermacht. Les services médicaux de la Deutche Rotten Kreutz enlevaient les croix gammées de leurs insignes. C’était très mal vu et très surveillé par des officiers SS de l’armée allemande (2) Un médecin particulièrement antinazi refusait de porter la svastika sur ses insignes de la CR. Dégradé, il a été envoyé sur le front russe. Il y est décédé.
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Première ambulance de la Croix-Rouge de Herstal offerte par la F.N. en 1937
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Bloc opératoire de la CR allemande à Bruxelles : Le médecin chirurgien et l’infirmière ne portaient pas de croix gammée. Ils ont aussi été sanctionnés. Ce qui est remarquable dans ce décor, c’est le matériel médical et chirurgical qui a beaucoup évolué par rapport à 1914-1918 : l’anesthésie, les instruments, la facilité de manipulation et l’éclairage en salle d’opération.
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Coffres avec les outils et instruments chirurgicaux : chirurgie orthopédique, chignoles, écarteurs, matériel d’amputation, dans certains coffres prévus pour la stérilisation.
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Scène du débarquement : Décor de la plage avec un brancardier US muni de son brancard. En réalité, la plage comprenait de très nombreux blessés, mais le brancardier ne pouvait pas faire grand-chose sinon apporter les premiers soins, garrottage, compression des plaies, pansement des blessures ou immobilisation des membres avec les moyens du bord parce que même le brancardage était pratiquement impossible.
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Des trousses de soins et du matériel fourni par trois pays (CR) : 1er étage ; redcross Canada - 2e étage : Rotten Kreutz Alleamgne - 3e étage : Americain red cross
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Le service de santé de la US Army en difficulté à Bastogne pendant la bataille des Ardennes. Le Captain PRIOR a autorisé deux soignantes infirmières à servir dans l’église : Augusta SCHIWI (métisse congolaise – belge) « NOIR » décédée en 2015. - Renée LEMAIRE, petite femme mise en valeur par le feuilleton BAN AND BROTHERS (Frères d’armes), morte dans l’église à la suite d’un tir d’artillerie ou bombardement. Mise à l’honneur par l’armée américaine pour son dévouement et le sacrifice de sa vie. Les mannequins : Renée Lemaire soigne un GI
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Infirmière USA et GB en tenue de sortie et Infirmière USA en tenue de service en opération
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Tenue de travail en salle d’opération US NAVY et Cadet Nurse : stagiaire étudiante en infirmerie (soins)
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Canteen Aid : cette fille est affectée au service logistique des blessés : repas et boissons, service de literie et Americain Red Cross : personne affectée au service de la CR USA, conductrice véhicule, fourniture matériel, médicaments, nourriture et premiers soins
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Tenue de conductrice d’ambulance GB medical corps AIS - Tenue de médecin écossais Black Watch Captain en service dress Medical Corps GB Army et au milieu, bébé protégé par un masque anti gaz spécial enfant en bas âge.
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Représentation d’une intervention de la CR belge sur un terrain d’opérations dans une zone de combat. 1 - Mannequin porteur du drapeau CR pour sécuriser les interventions CR. Il est dans la même tenue que les résistants belges (salopette en toile de jute), ce qui leur a compliqué la tâche dans leur travail, confusion avec la résistance. 2 - Un infirmier secouriste donne les premiers soins à un soldat belge (3e mannequin) d’un bataillon de fusiliers.
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Médecin belge du 17e Bn Fus en service dans un corps de la US Army d’où le mélange des insignes
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Infirmière belge en GB. Elle est directrice du service de la Belgian Red Cross. A côté, le coffre du chauffeur Corps
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Espèce de chaudron pour stérilisation des instruments médicaux. Tenue britannique d’un homme au service de la CR belge
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Infirmière allemande obligée de porter la svastika pour laisser apparaître sa nationalité mais c’est surtout par punition car elle se trouve au camp d’extermination de Buchenwald pour avoir refusé de porter les insignes nazis sur la Croix Rouge. Un mannequin de prisonnier qu’elle soigne
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Le drame de Baugnez. Un brancardier ou infirmier qui fait partie des soldats US massacrés pendant la bataille des Ardennes à Baugnez.
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La visite de la reine à la CR avec personnel en uniforme.
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Sous le patronage de la reine Elisabeth, organisation des formations sanitaires de la CR de Belgique
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Aide américaine à la population belge. 1ère valise avec de la lingerie pour bébé avec layette. La femme à l’évier est enceinte, il y a de la lingerie pour elle dans la 2ème valise avec drap de toilette, gants de toilette, linge, savon. 3ème valise : pyjama pour femme adulte, linge de corps, etc
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Avion ambulance fait pour l’évacuation aérienne avec infirmière et technicien médical, prévu pour 18 blessés assis ou un peu moins avec blessés couchés.
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Arrivée d’un blessé dans le bloc opératoire du front, installé dans une isba (armée soviétique services médicaux, camion transformé en ambulance Chevrolet « Prêt Bail »)
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