Maison du Souvenir

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Les photos sans album 2.




Comme beaucoup de villes et de villages, Baulers a son monument 1940-1945. Celui-ci est accolé au mur de l’ancienne école des Sœurs dans le bas de la rue de l’Eglise.

Projet du monument réalisé à main levée par l’architecte Anse


Cérémonie du 15 mai 1947


Photo du monument. On y voit Pierre PETITNIOT déposant des fleurs et Marcel LEVEQUE tenant le drapeau de la jeunesse sportive


Cette photo atteste que les dépouilles des soldats français ont été transférées au cimetière de Baulers ; pour preuve, la présence à droite de la tombe de RICHE Roger de la stèle de Maître Nicolas Bauwens, pasteur de Baulers au XVIIIème siècle. Cette stèle existe toujours, mais elle a été déplacée.

En observant bien les détails des joints du mur, nous avons retrouvé l’endroit exact des trois tombes, à savoir sur le mur gauche de la Sacristie

Stèle de Maître Nicolas Bauwens, pasteur de Baulers au XVIIIème siècle.

Curieusement, une plume a été plantée sur la tombe

Bray-Dunes, juin 1940, de gauche à droite : le Lieutenant LAVOINE, le Capitaine JABIOL, le Commandant CAILLARD. (Photo extraite du livre de Cl. ARTIGES)

Défilé du 11 novembre 1939 à Orvillers-Sorel (dans l’Oise). Le Lieutenant POMMIER marche en tête de la C.A.1. Le sergent VOG porte le fanion du 43e R.I. (Photo extraite du livre de Cl. ARTIGES)

Défilé du tricentenaire du 43e R.I. à Lille en mai 1938. Le Capitaine JABIOL monte à cheval en tête de la C.A.1. (Photo extraite du livre de Cl. ARTIGES)

Soldats tirailleurs algériens du 22e RTA. (Photo ECPAD)

Side-car de la 2e Cie avec insigne peint. 1er rang de gauche à droite : Sgt Daniel CARELS, Robert CAEN (assis dans la voiturette), STAHO qui serait l’agent motocycliste de liaison évoqué par le Colonel V. DU MURAUD (sur la moto) (Photo J. CARDON)

Février 1940. Le caporal THEVENIN et son fils Jean-Claude âgé de 6 mois. Place de Tricot (Oise)

Rue d’Alzémont, à l’époque le chemin était fort encaissé.

Tricot (Oise). Printemps 1940. Soldats du CMRE. De gauche à droite : caporal THEVENIN Roger tireur au 25, 2ème à gauche caporal-chef LIGOT blessé en Belgique, à droite caporal COPPENS. (Photo Roger THEVENIN)

Lt. MAERTEN (mortiers de 81). (Photo 43e R.I.)

Actes de décès de Maurice VANDAELE 

Actes de décès n° 12 



Lucien CAUDMONT, à l’âge de 18 ans, taquinant le poisson. Cette photo date de 1938.




Au dos de la photo de Lucien, sa sœur Jacqueline âgée alors de 13 ou 14 ans avait écrit ce texte : « Petit frère chéri Lucien. Cette photo me rappelle mon grand frère comme je l’ai connu. Son regard doux semble me dire ne m’oublie pas Son regard triste semble comprendre que la vie est de courte durée. Je t’aime petit frère chéri je pense à toi »

Lucien est au 2ème rang, deuxième à droite



Lucien y a aussi inscrit l’adresse de chacun d’eux.




Formulaire de permission

Une des pages du cahier de notes de Lucien Caudmont








Photo prise le samedi 16 septembre 1939

« Dans cette valise gît le peloton S.O.R. ». Lucien est en haut, premier à gauche

« Lucien est au premier rang debout tout à gauche

Peloton  SOR, au centre le lieutenant MANGIN. Lucien se situe au 2ème rang tout à gauche avec le képi

Képi du caporal-chef Lucien CAUDMONT

Calot de Lucien CAUDMONT avec une inscription à l’intérieur : « 43e del »

Fourragère de Lucien CAUDMONT





Photo prise le mardi 10 octobre 1939




Sur la route de la Marne vers l’Oise (novembre 1939) Le camion de la Compagnie et la « roulante » (Photo extraite du livre de Claude ARTIGES)



Photo de famille de janvier 1940. Au second rang, Lucienne et Léon, parents de Lucien, au premier rang, en partant de la gauche, leurs enfants Jacqueline, Léon et Odette.

Lucien CAUDMONT. Hiver 1939-1940

Lucien CAUDMONT. Hiver 1939-1940



Retour du bois. Fin décembre 1939. Photo prise par Daudicourt.

Photo intitulée « Les pluches » datée de fin décembre 1939, on aurait aussi pu l’appeler « la corvée patates»

Lucien CAUDMONT. Janvier 1940


Match de volley le 3 janvier 1940

Lucien se trouve au 1er rang, 3ème à droite. Début janvier 1940









A Hévillers, le tunnel de la ligne de chemin de fer Bruxelles-Namur est au centre du secteur du 43e R.I. Photos prises en 1945 par Cl. ARTIGES aux emplacements de la base de feu. (Photos extraites du livre de Cl. ARTIGES)


Maisons détruites à Hévillers lors des bombardements des 14 et 15 mai 1940. (Photos prises en 1945 et extraites du livre de Cl. ARTIGES)



Claude ARTIGES en Battle-dress

Claude ARTIGES «  A mon cher cousin Georges et à sa charmante fiancée avec mes meilleurs vœux de bonheur. C. ARTIGES »

Canon antichar de 25 mm Mle 34 Hotchkiss. En service au 43e RIM, ses obus perçaient jusqu’à 40 mm de blindage, ce qui était insuffisant face aux chars allemands les plus lourds. (Photo ECPAD)

Peloton des sous-officiers en mai 1939. 1er rang, de gauche à droite : Cl . ARTIGES, DOMISE, CARIN, Joseph. (Photo extraite du livre de Claude ARTIGES)

A gauche, le Sergent LEZANNI qui détruisit deux automitrailleuses allemandes en deux coups de canon de 25, à droite le Sergent Roger BRADY. Photo prise à Orvillers-Sorel. (Photo J. CARDON)

Mitrailleuse d’infanterie Hotchkiss. De gauche à droite : Cl. ARTIGES, GAMBIER et GONDON. (Photo extraite du livre de Claude ARTIGES)

Chenillette Renault de ravitaillement. Lors de la retraite de Hanneliquet, ce type de véhicule a servi à transporter les blessés. Au centre, appuyé sur la chenillette, Robert CAEN. (Photo 43e R.I.)

Claude ARTIGES

1er rang assis : Slt VANDORPE, Ltn POIRE, Slt de LIPSKI, Slt RUFFY DE PONTEVES, Slt WERY, Cpl RYNKOWSKI (interprète) 2e rang : Cne DEWIDEHEM, Cne JABIOL, Cne TARTAR, Lcl CAILLARD, Lcl V. DU MURAUD, Cdt CHABROLLES, Cne NICOLI, Cne COQUET, Cne LEJEUNE. 3ee rang : Lt, LAVOINE, Slt BONAVENTURE, Slt SEXE, Ltn SENECHAL, Ltn DESPINOY, Cne OHEIX, Slt MARTINIE, Ltn DUBOIS, Slt BONFILS, Ltn BOUDRY, Slt MAURRAS, Slt PEYRON, Ltn LANCIEUX, Ltn WILHEM. 4ee rang : Slt PUCHE, Ltn BOULENGER, Slt TETU, Slt TARDIEU. (Photo 43e RI)

Acte de décès de Lucien CAUDMONT


Livret militaire de Lucien CAUDMONT transpercé par un projectile

Cette photo de Léon Caudmont a été prise en 1925. Lucien la portait dans son portefeuille lorsqu’il a été tué. En haut à droite, on voit l’impact de la balle. C’est sur cet avion que Léon effectuait journellement ses missions


A noter au passage le cachet de l’Administration communale de Baulers

Amaury-Marie-Joseph-Edouard-Paul-Ghislain de RAMAIX. Bourgmestre de Baulers le 16 octobre 1931. Officier de l’Ordre de Léopold. Chevalier de l’Ordre de la Couronne. Né à Berlin, le 11 mai 1881. Mort à Baulers le 4 janvier 1955








En janvier 1942, le Secrétaire général aux Anciens Combattants informe le Président de la Croix-Rouge que la succession de Lucien CAUDMONT a été adressée au Maire de St-Satur.

Le 27 janvier 1942, la Croix-Rouge française transmet à Léon CAUDMONT copie de la lettre du Secrétaire général aux Anciens Combattants.





Ferme Hanneliquet jusqu’en 1949



Château Bouillon du temps de DE RAMAIX





Dans l’ancien cimetière de Baulers, il ne subsistait qu’une croix en béton sans inscription à l’endroit précis de l’ancienne croix en bois de Lucien CAUDMONT.
















Arrivée aux « Territoires de la Mémoire » à Liège

Le fort de Brendonck

Préparation du diaporama et commentaires par les enfants au sein de la Maison du Souvenir

Hommage à Antoine Fonck, cavalier au 2ème lanciers, premier soldat tué pendant la Grande Guerre



Remise de la copie du tambour anglais à Madame Chanoine. (collection Pierre de Tender)


Préparation, à la Maison du Souvenir, des commentaires des photos par les enfants après leur voyage à Breendonk. Photo d’un groupe.

Et nous voici arrivés à bon port après une randonnée d’une heure et demie. 32 enfants et 7 adultes descendent du car.

L’entrée de ce fort faisait partie de la défense de la citadelle d’Anvers, en 1914 comme en 1940 car il s’agissait bien d’un fort faisant partie de la défense d’Anvers.

Nous avons fait la connaissance de notre guide qui va surtout nous expliquer ce qui s’est passé ici pendant la guerre 1940-1945.

Le fort était entièrement recouvert de terre ; du ciel, on ne voyait qu’une petite partie de ses infrastructures.

Plus ou moins 3.000 Belges ont été envoyés dans ce camp de concentration. Ils devaient creuser le sol, enlever la terre et la transporter de l’autre côté du fossé qui entourait les installations.

Voici le commandant du fort, M. Schmitt au milieu et l’un de ses adjoints appelé Popeye par les prisonniers à droite. Tous deux étaient des tortionnaires. (Photo d'une photo du Fort de Breendonk,lors de notre visite)

Voici le pont qui permettait aux prisonniers de transporter la terre de l’autre côté du fossé.

Notre guide nous explique que les déportés ont dû transporter cette terre pendant quatre ans. Cela n’avait aucune utilité, mais il fallait faire travailler les prisonniers.

Nous sommes très attentifs et certains prennent des notes. Ce sera utile pour le travail que nous aurons à effectuer à la Maison du Souvenir.

Nous entrons réellement dans le fort. On se demande ce qui va nous arriver.

Cette plaque bilingue nous rappelle qu’en 1940-1945, ce fort a servi à enfermer les résistants et plus tard les juifs, avant qu’ils soient emmenés dans des camps d’extermination.

Celle-ci nous apprend qu’en 1914, il a participé activement à la défense d’Anvers jusqu’à ce que notre armée se réfugie derrière l’Yser pour quatre longues années. Et ce du 27 septembre au 8 octobre.

Nous entrons dans une pièce qui servait de cantine aux Allemands. Des panneaux affichent des photos de résistants qui ont été enfermés ici.

Au fond de la pièce, une fresque représente un aigle ainsi qu’une tête de mort avec la phrase en allemand : « Meine Gott deikte true »

Voici le type de poêle qui permettait de chauffer toute une chambrée de 60 lits.

Cette pièce est tapissée de plus de 1 200 noms de prisonniers qui sont passés par ici. Deux personnes continuent à fouiller les archives pour connaître le nom des autres. Au milieu, sur la table, des urnes contiennent les cendres de déportés morts ici.

A chaque décès, les Allemands devaient compléter un document mentionnant la cause de la mort. Comme c’était souvent les mauvais traitements, ils inventaient une cause naturelle.

Comme dans ce cas

Le plus souvent, c’était la pneumonie qui était invoquée.

Voici l’un des prisonniers, habillé avec les uniformes que l’on avait trouvé dans les réserves. Ces vêtements, il devait les garder au moins trois mois.

Nous sommes dans une cour intérieure du fort. Les fenêtres sont teintées en bleu pour que les déportés ne puissent pas voir ce qui se passe dehors et qu’ils restent dans l’obscurité le jour comme la nuit.

Voici encore le commandant du camp. A côté de lui, sa femme ! Elle venait s’asseoir sur une chaise pour regarder les prisonniers travailler pendant qu’elle mangeait alors qu’eux n’avaient pratiquement rien à se mettre sous la dent !

Le commandant du camp entraînait son berger à attaquer les déportés.

Voici Richard De Bodt et Fernand Wyss, deux collaborateurs qui prenaient du plaisir à frapper tous les prisonniers et prisonnières.

Cette photo nous fait bien comprendre quel était le travail de ces malheureux. En fait ce travail ne servait à rien, sinon à faire souffrir les gens.

C’est ici que les juifs ont été parqués au milieu de la guerre.

Par contre, c’est ici que les autres prisonniers étaient parqués.

Et bien sûr, la garde était vigilante à tous les endroits du fort.

Un groupe de prisonniers habillés avec les uniformes retrouvés dans les réserves du fort. Ils devaient souvent répondre aux appels et rester des heures immobiles en attendant le bon vouloir de leurs gardiens.

Les toilettes, celles-ci disponibles pour 300 prisonniers, étaient des toilettes à pédales.

A cet emplacement se trouvait la buanderie. Au cours d’un bombardement à la libération du camp, elle a été soufflée. On a préféré ne pas la reconstruire.

Des prisonniers ont dessiné la vie du camp. Ici, ils creusent la terre et remplissent les wagonnets sous un soleil de plomb.

Là, ils poussent les wagonnets de terre pour aller la déverser plus loin.

C’est la réalité qu’ils dessinent et peignent.

Pourquoi ce prisonnier est-il mort ? A cause de la chaleur, du manque de nourriture, des mauvais coups, du travail trop dur ?

Regardez la photo du jeune homme de gauche avant qu’il soit emprisonné. Il était bien dans son corps. A droite, il est tout maigre à la sortie du camp de Breendonk.

Nous sommes dans l’un des dortoirs. Au fond, quelques tables et quelques chaises et un unique poêle pour chauffer toute la pièce.

Il y a 48 lits dans cette pièce. Dans les matelas, il y a de la vermine, de la paille.

Six prisonniers occupent chacun des trois étages de chaque ensemble de lits.

Près du poêle, un seau où les prisonniers faisaient leurs besoins naturels. Un seul seau pour toute une nuit. Le matin, il débordait et tout ce qui était tombé du seau, les pauvres devaient le ramasser à la main sous les coups des gardiens.

Ce panneau montre ce que chacun mangeait sur la journée : un bol d’une sorte de café fait avec des glands torréfiés, une tranche de pain. A midi, une tranche de pain avec une sorte de soupe. Le soir, une tranche de pain.

Pour punir ceux qui n’obéissaient pas assez rapidement, on les enfermait dans ces cachots. Une planche pour dormir et un pot pour les besoins naturels.

Le jour, on leur posait des fers aux pieds. Ils devaient rester debout face au mur, planche relevée. S’ils bougeaient, ils se faisaient matraquer.

Dans ces cachots, plus de lumière, le noir absolu pendant toute la durée de l’enfermement. Imaginez ce que celui qui était enfermé ici souffrait.

En se levant ou en revenant du travail, les prisonniers avaient quand même la possibilité d’utiliser ces lavabos.

Voici les déportés qui viennent demander à Popeye le passage à l’infirmerie. Un coup de poing dans le ventre. As-tu toujours envie d’aller à l’infirmerie. A votre avis, que répondait-il ?

Pourtant, certains gardiens essayaient d’aider les prisonniers. Ainsi, après la guerre, l’un d’entre eux est devenu l’ami d’un déporté et ils se revoyaient de temps en temps.

C’est dans ce cercueil que l’on transportait les morts vers la fosse où ils étaient enterrés. Mais après le transport, il revenait vide ici.

Nous sommes ici dans la salle de tortures. Vous croyez que ce poêle servait à donner une douce chaleur dans la pièce ?

Eh non, il servait à rougir les fers qui serviraient à torturer les prisonniers.

On utilisait aussi des fils électriques pour électrocuter les gens.

Notre guide nous explique comment les tortionnaires utilisaient une chaîne et un crochet pour tourmenter les captifs.

Ils étaient élevés mains derrière le dos. Les bras se déboitaient puis on les lâchait brusquement pour qu’ils tombent sur les arêtes des bois posés à terre.

Imaginez 48 personnes qui vivotent dans un espace comme celui-ci !

Les déportés utilisaient des wagonnets comme celui-ci

Ou des brouettes comme celles-ci.

Des toilettes en série avaient été installées sur le chantier. Les problèmes de dysenterie étaient très fréquents.

N’oublions pas que nous étions dans un fort qui servait de caserne également pour les soldats belges.

Un système de défense entourait complètement le fort.

Voici des berlines utilisées pour transporter la terre : 500 kg vides, 1.500 kg pleines.

Ce grand panneau est une photo du chantier tel qu’il se présentait pendant la guerre. Mais notre guide nous dit qu’elle a été prise de manière à faire croire que les prisonniers travaillaient dans de bonnes conditions. C’était loin d’être le cas.

Nous arrivons alors à l’endroit où les prisonniers étaient exécutés. Ici, les poteaux contre lesquels ils étaient fusillés.

Ce tableau porte le nom de ces hommes qui ont été exécutés ici. On estime leur nombre à plus ou moins 300. Tous les noms n’ont pas encore été retrouvés dans les archives.

Là étaient pendus certains d’entre eux.

Pour les juifs, c’était les camps d’extermination qui les attendaient. C’est dans des wagons de ce type qu’ils y étaient amenés.

Quant à nous, nous avons repris notre car qui nous a ramenés sains et saufs auprès de nos parents. Croyez bien que les images que nous avons vues ce 12 novembre nous ont marqués. Quand nous avons revu nos parents, nous leur avons raconté les horreurs que nous avons vues et entendues. En tout cas, nous ferons tout ce que nous pourrons pour que des choses comme celles-là ne nous arrivent jamais !


Le Te Deum

Le cortège se rend au monument

Dépôt de la gerbe par l’Echevin L. Antoine

Pendant la Brabançonne

Inauguration ce 7 mai de l’exposition 2010 par le président, de la Maison du Souvenir, Monsieur André Pirson.

Le public



Objets exposés par la Maison du Souvenir pour la journée du Fort

Arrivée d’un groupe d’enfants

Les autorités

Ouverture des cérémonies par Monsieur Robert Latet

Jour après jour, la vie du fort nous est rappelée par les enfants

Une partie des drapeaux

Un ancien du fort, Monsieur Dohogne, aidé d’un enfant fleurit le monument du Fort

Placement de la dernière gerbe par le Colonel Babette

Départ des militaires vers le Square Colonel Pire

Départ des drapeaux vers le Square Colonel Pire

Le monument est bien entouré

Les enfants

Discours de l’Echevin des Relations Publiques

Les drapeaux, les militaires et les enfants

Les Anciens du Fort

Les Anciens du Fort rendent hommage à leur Colonel

Les Anciens du Fort rendent hommage à leur Colonel

Le Fort de Pontisse fut cité à l’ordre du jour de l’armée

La prise du drapeau allemand par le soldat Lange. (collection Musée de Herstal)

Le monument rendant hommage au 12ème de ligne à l’endroit de la bataille. (photo F. De Look)

Le discours de l’Echevin Monsieur L. Antoine

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles

Les participants aux dites retrouvailles



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